On ne vous dit pas tout !

 

On dit que toute vérité n'est pas bonne à dire ,

mais ici , on vous dit tout ,

Et n'ayez pas peur !

vous aussi de diffuser  ce qui vous dérange ,

C'est ce que je le fais sur cette page , car je déteste le mensonge !

et l'on dit aussi dans un proverbe " qui dit mot conscent "

ce qui veut dit que si vous êtes au courant de quelque  chose qui peut aider l'humanité

et que vous ne faites rien , vous en êtes responsable à votre tour ,

Je prend pour exemple l'histoire de la pandémie ,

j'ai diffusé la composition du vaccin qui contenait du mercure et du plomb ,

pour éviter que des internautes ne soient malades,

 c'est à votre tour , ici sur cette page de diffuser ce qui peut nous servir !

ou sur le lien du chat , en anonyme !

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LA FRANCE EN GRAND DANGER

 

Certains ont choisis de fuir la France pour vivre ailleurs, mais est-ce bien la bonne solution,

ou de rester afin de prendre conscience qu'ensemble ont pourrai être une force pour tout changer ?

 Quand la métallurgie a été touché par le chômage, les autres corps de métiers n'ont pas bougés !

Est-ce bien raisonnable  ne pas rester solidaire entre nous ?

Car pour nos enfants et petits enfants, l'avenir n'est pas rose, et je crois que beaucoup d'entre eux,

auront du ressentiments vers les anciens qui n'auront pas su les protéger.

J'ai connu la rue à 16 ans, donc ne croyez pas que je parles avec légèreté.

 

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 Avons nous vraiment changé la vie même

si nous ne sommes plus à l'époque du film " LE KID " ?

Voilà ou nous en sommes actuellement

En tout, environ 141.500 personnes en France sont sans domicile fixe, selon une enquête de l'Insee.

Environ 141.500 personnes, dont 30.000 enfants, étaient sans domicile début 2012 en France, soit une progression de près de 50% depuis 2001,selon une étude de l'Insee rendue publique mardi 2 juillet.

Près de deux sans domicile sur cinq sont des femmes. Avec ou sans enfants, elles bénéficient de conditions d'hébergement souvent plus stables que les hommes seuls et étrangers.

L'enquête se base sur les personnes ayant fréquenté les services d'hébergement ou de restauration dans les agglomérations de plus de 20.000 habitants, entre le 23 janvier et le 3 mars 2012.

Parmi 103.000 personnes recensées, 81.000 étaient sans domicile, c'est-à-dire qu'elles avaient passé la nuit précédent l'enquête dans un lieu non prévu pour l'habitation (on parle alors de sans-abri), ou qu'elles avaient dormi dans un service d'hébergement (hôtel ou logement payé par une association, chambre ou dortoirs dans un hébergement collectif, lieu ouvert en cas de grand froid).

30.000 enfants touchés

Ces 81.000 personnes étaient accompagnées de 30.000 enfants.

En ajoutant les 8.000 sans-domicile des communes rurales et des petites agglomérations et les 22.500 personnes en centres d'accueil pour demandeurs d'asile (Cada), l'Insee totalise 141.500 personnes sans domicile début 2012.

Sur les 81.000 adultes sans domicile recensés dans les agglomérations de plus de 20.000 habitants, 53% étaient d'origine étrangère, alors qu'ils n'étaient que 38% en 2001. Ce chiffre est en augmentation en raison de la hausse du nombre des demandeurs d'asile sans places en Cada.

L'étude se penche plus particulièrement sur les 66.300 adultes francophones sans domicile. Près de la moitié étaient en centre d'hébergement collectif (11% dans un centre qu'ils doivent quitter le matin, 35% dans un centre où l'on peut rester la journée), un tiers dans un logement payé par une association, 12% dans un hôtel, et 9% étaient des sans-abri.

Manque d'hygiène et insécurité

La moitié de ces sans-abri n'avaient pas voulu dormir en centre d'hébergement à cause du manque d'hygiène et de l'insécurité. Les autres ont été refusés par manque de places ou n'ont pu s'y rendre (arrivée trop tardive, chiens non admis, etc.).

Les femmes accompagnées d'enfants sont majoritairement hébergées en hôtel ou en logement associatif. Les personnes seules sont plus nombreuses dans les centres collectifs ou parmi les sans-abri, mais on y compte moins de femmes seules que d'hommes seuls.

Les hôtels accueillent principalement les femmes étrangères, tandis que les hommes seuls étrangers connaissent les conditions les plus précaires (à la rue ou dans les centres à quitter le matin).

 

je relais ce  Lien Monyka 

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11/10/2014
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la voiture électrique n’est ni « écologique » ni « propre »

 

Publicité: NON, la voiture électrique n’est ni « écologique » ni « propre »

 

logo-electrique

Plusieurs constructeurs automobiles, dont Citroën, Renault, General Motors et le groupe Bolloré, ont dû corriger leur message publicitaire concernant leurs véhicules électriques. Le caractère « écologique » ou « propre » de leurs modèles ne pourra plus être vanté par leur publicité.

C’est ce qu’a décidé le Jury de déontologie publicitaire (JDP), qui statue sur les plaintes du public envers des publicités présumées mensongères. « Une telle allégation ne peut qu’induire en erreur le public sur les propriétés du véhicule et suggérer indûment une absence d’impact négatif sur l’environnement » écrit le JDP, dans son avis rendu le 6 septembre.

Cette délibération fait suite à une plainte pour « désinformation » de l’Observatoire du nucléaire. Pour Stéphane Lhomme, porte-parole de cette Observatoire, ces quatre décisions sont la démonstration que « la voiture électrique est polluante ».

Un public induit en erreur

Parmi les sociétés visées, Renault et Citroën associaient leurs modèles respectifs,Zoé et C-Zéro au terme « écologique ». Selon le JDP, « une publicité ne peut se borner à qualifier le produit dont elle fait la promotion d’« écologique » dès lors qu’elle n’est pas en mesure de justifier une telle formulation globale ». Citroën areconnu que cette allégation peut induire en erreur le public « dans la mesure où la production et l’utilisation d’un tel véhicule ont nécessairement une incidence négative sur l’environnement, quand bien même serait-elle plus limitée que celle de véhicules conventionnels. »

Citroën a depuis supprimé toute référence à un « véhicule écologique » et s’est engagé à l’avenir à « faire preuve de la plus grande vigilance pour les respecter ». Renault de son côté indique que « la mention du caractère écologique du véhicule électrique Zoé sans aucune relativisation est, en effet, contraire aux engagements qu’elle a pris dans le cadre de l’Union des Annonceurs (UDA) en signant la Charte pour une communication responsable. » Renault a par conséquent modifié « écologique » par « zéro émission ».

Une électricité issue d’énergies fossiles ou de centrales nucléaires

La Bluecar est par ailleurs présentée par le groupe Bolloré comme un « véhicule propre ». Le groupe a précisé vouloir « mettre en avant l’absence d’émission de CO2 à la différence des véhicules conventionnels ».

Il signale également «  la possibilité de les recharger par panneaux photovoltaïques, de sorte que l’énergie utilisée est alors 100 % propre » et que ces véhicules sont « à 85 % recyclables en fin de vie. » 

Quant à General Motors France, il précisait pour son modèle Opel Ampara qu’il faisait appel à des sources d’énergie « propres et renouvelables ». Mais pour le JDP, un véhicule électrique « n’est pas intégralement recyclable », et l’électricité qu’il utilise « est également produite par des centrales nucléaires ou est issue d’énergies fossiles (gaz, charbon…) ».

General Motors France précise désormais que « l’électricité utilisée provient notamment de sources renouvelables ».

Quant à la société Bolloré, elle déclare avoir « supprimé la référence au terme « propre » afin de ne pas créer de confusion dans l’esprit du consommateur. » 

Cette mention est néanmoins toujours présente sur le site de Bluecar. Si les décisions du JDP font l’objet d’une publication systématique, elles ne donnent pas immédiatement lieu à des sanctions. Celles-ci peuvent aller jusqu’à une demande de cessation immédiate de diffusion adressée aux médias.

Lire à ce sujet : Les dessous de la voiture électrique

SOURCE : http://www.bastamag.net/

et aussi: La voiture qui fonctionne à l'eau

Les matières premières pour notre technologie sont extraites sur l'Afrique , notamment le Congo et le Mali ou les gens sont malades et pas soignés avec la radio activité qui en découle.

Le nord du mali c'était révolté pour avoir des soins , pas pour faire la guerre, mais pour avoir une vie décente.

Et la France envoie des troupes pour les faire taire !

Est-ce bien raisonnable ?


10/01/2015
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Loic Le Ribault : Mandat d'Arrêt contre un chercheur

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le silicium organique G5 sans jamais oser le demander ! 

« Depuis quelques années, il ne se passe guère de mois sans qu’apparaissent sur le marché de nouveaux produits à base de silicium organique, toujours officiellement présentés comme « compléments alimentaires », « cosmétiques » ou « produits de confort ». 

Pourtant, l’étude des documentations fournies par les fabricants révèle généralement l’existence de revendications thérapeutiques déguisées ou font référence à des articles scientifiques prouvant l’utilité du silicium organique dans le traitement de diverses maladies. 

Nombre de nos correspondants nous ont demandé quelle était l’histoire vraie du silicium organique, preuves à l’appui. 

Au cours de l’enquête que nous avons menée, nous avons lu ou entendu beaucoup de mensonges et de contrevérités, constaté que beaucoup de poulets se paraient des plumes du paon, que les découvertes des uns étaient attribuées aux autres, qu’apparaissaient des « chercheurs » qui n’existent pas, que des vérités étaient occultées, bref, que le silicium organique semblait être devenu un colossal enjeu financier pour des applications sans intérêt bien éloignées des espoirs qu’il apporte en médecine. 

Nous avons pu vérifier que le silicium à usage thérapeutique est né et s’est développé grâce au travail de trois chercheurs de réputation internationale, et à eux seuls :

Norbert DUFFAUT, inventeur du silicium organique de synthèse, Jacques BRETON, inventeur de l’ionocinèse contrôlée,

et Loïc LE RIBAULT, inventeur du silicium buvable, qui s’est en outre battu pour que le produit soit connu du grand public. 

Nous avons découvert que les preuves scientifiques officielles de l’efficacité thérapeutique du silicium organique abondaient depuis longtemps, qu’il n’en avait jamais été tenu compte par les autorités médicales supposées responsables, que non seulement les inventeurs n’avaient pas été aidés par ces dernières

(dont c’était pourtant – et c’est toujours - le devoir), mais que depuis cinquante ans les dites autorités font tout pour étouffer cette découverte fondamentale. 



Lien : http://www.loic-le-ribault.com/

Le silicium organique est recommandé en cas d'arthrose , pensez-y, essayer avant de vous faire mettre des prothèses !

 


18/07/2015
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Ebola, le mensonge général

 

Alors que le journal Le Monde parle quotidiennement de « ravages » et de « catastrophe », la réalité est que l’épidémie de virus Ebola reste d’ampleur très modeste.

La presse parle de 1229 morts entre mars et août 2014 sur l’ensemble de l’Afrique, et encore ce chiffre n’est-il pas exact.

Si vous vous rendez sur la page du site de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) traitant du sujet, vous vous rendez compte qu’il y a en fait 788 décès formellement identifiés comme causés par le virus Ebola. Les autres sont des cas « suspects » ou « probables ». 

Ce sont bien sûr 788 morts de trop, mais il faut comparer aux 1,2 MILLION de morts causés annuellement par le paludisme, ou aux 2000 morts causés annuellement en France par la grippe saisonnière. 

 

Très peu de contagion

Les images de soignants portant des masques et des combinaisons intégrales pour s’approcher des malades suspectés sont insensées et dignes d’un mauvais film de science-fiction.

Car le virus Ebola ne se transmet absolument pas si facilement :

« Il faut un contact direct avec un liquide biologique comme le sang, les selles, les vomissures. Il n’y a aucune transmission par voie aérienne.

C’est-à-dire que, lorsqu’une personne parle ou tousse, elle ne répand pas le virus Ebola dans l’air ambiant. » explique le Pr Bruno Marchou, chef de service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital de Purpan, à Toulouse. 

Autrement dit, le virus Ebola est comparable au SIDA pour son mode de propagation.

Il faut vraiment être au contact du sang ou du liquide biologique du malade pour risquer soi-même d’être contaminé.

Cela veut dire, toujours selon le Pr Bruno Marchou, que le virus Ebola :

 

« n’atteindra pas le stade pandémique. À Conakry (capitale de la république de Guinée), ils avaient initialement plusieurs dizaines de cas parmi le personnel hospitalier.

Ils ont réussi, en appliquant des mesures d’hygiène standard simples, à endiguer la propagation du virus parmi leur personnel. »

Ces mesures d’hygiène n’ont rien de sorcier :

« Quand on s’occupe d’un patient, on se couvre les mains avec des gants. Si le patient vomit, il faut aussi se couvrir le visage.

C’est le b.a-ba. On fait ça tous les jours. » continue-t-il.

«La mort dans 20 à 90 % des cas »

Sandrine Cabu, de Médecins Sans Frontières, interrogée par Le Monde, explique que le virus Ebola entraîne « la mort dans 20 à 90 % des cas ».

Pourquoi une fourchette aussi absurdement large ?

Parce que le virus Ebola est surtout dangereux quand il est mal soigné. Les personnes meurent de déshydratation ou d’hémorragies mais le traitement consiste alors simplement à hydrater ou à transfuser le patient, pas à lui donner un vaccin ni un hypothétique médicament.

 

Il ne faut pas croire ce que prétend l’industrie pharmaceutique qui aimerait pouvoir vendre aux gouvernements une poudre de perlimpinpin comme elle l’avait fait pour le Tamiflu.

« Les nouveaux médicaments ne sont pas la solution contre Ebola », selon un expert en maladies infectieuses

La solution contre l’épidémie consiste à respecter des mesures simples et de bon sens : hygiène, bonne nutrition, vitamine D, vitamine C.

Selon Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses des Etats-Unis, l’outil le plus efficace contre Ebola est de prodiguer les soins de base aux malades.

 

« La véritable priorité devrait être de créer des infrastructures médicales dans les pays touchés pour fournir aux malades le soutien médical de base comme l’hydratation et la transfusion sanguine.

Cela aura un beaucoup plus gros effet sur la santé que la distribution au hasard de quelques médicaments expérimentaux

Selon Thomas E. Levy, auteur d’un article récent sur les remèdes potentiels contre le virus Ebola  :

 

« Jusqu’à présent, il n’y a pas un seul virus testé qui n’ait pas été inactivé par une certaine dose de vitamine C.

Un des moyens prioritaires pour détruire le virus, ou programmer sa destruction par le système immunitaire, est d’activer la “réaction de Fenton”. En un mot, cette réaction peut se produire à l’intérieur du virus, dans les cellules où les virus se répliquent et à la surface des virus eux-mêmes. »

Il n’y a donc aucune raison de suspecter le virus Ebola de se transformer brutalement en une pandémie à l’échelle de l’Afrique, et encore moins dans le reste du monde.

Mais il n’y aucun doute que cette psychose peut servir les intérêts financiers de quelques-uns.

Semer la panique : un business très lucratif

La panique autour du virus Ebola rappelle évidemment la grippe aviaire de 2005 et la grippe porcine (H1N1) de 2009.

Ces deux « pandémies imminentes » ont été l’occasion de manipuler grossièrement les opinions publiques pour justifier la vaccination en masse des populations, qui s’est révélée entraîner de terribles effets secondaires, dont la narcolepsie, un très grave trouble du sommeil.

 

En 2009, l’Organisation Mondiale de la Santé a prédit qu’un tiers de la population mondiale pourrait être touchée par la grippe H1N1, avec des effets incalculables.

La ministre de la Santé Roselyne Bachelot n’avait alors pas hésité à commander 94 millions de vaccins !

Les Français n’ayant été que 6 millions à se faire vacciner, Mme Bachelot avait, dès le mois de janvier 2010, annulé auprès des laboratoires pharmaceutiques la livraison de 50 millions de doses et fait verser par l’Etat en dédommagement près de 48 millions d’euros aux laboratoires. 

 

Quant au fameux médicament antiviral « miracle », le Tamiflu, son effet réel n’est que de réduire la durée des symptômes de moins d’une journée, sans limiter d’aucune façon les hospitalisations. Une étude britannique a conclu que la distribution de Tamiflu contre la grippe H1N1 a eu pour seul effet de… gaspiller 500 millions de Livres sterling.

En effet, la saison de grippe 2009 se révéla finalement moins grave que d’habitude, malgré la présence de la souche H1N1.

De plus, de nombreux prétendus cas de grippe H1N1 se révélèrent ne même pas être des grippes mais de simples rhumes, ce qui n’est pas sans rappeler ce cas de virus Ebola à Berlin qui s’est finalement révélé être… une gastro. 

Jouer avec le feu

Toutefois, les titres excessifs martelés par la presse sont à mon avis très dangereux :

« Une épidémie absolument pas sous contrôle, sans précédent », Médecins Sans Frontières, le 30 juillet 2014.

« Le virus Ebola continue de dévaster l’Afrique de l’Ouest », Le Monde, 15 août 2014. 

« L’OMS décrète une urgence de santé publique de niveau mondial », France 24, le 20 août 2014.

Cette psychose est en train de semer la pagaille en Afrique, où des gouvernements sont ni plus ni moins en train de fermer les frontières, mobiliser les armées pour réprimer les populations, et même isoler sans raison des dizaines de milliers de malheureux, hommes, femmes, vieillards et enfants mis en quarantaine dans un bidonville du Libéria, sans nourriture ni eau.

 

« Pour espérer contenir l’épidémie de fièvre hémorragique Ebola qui fait rage au Liberia  le gouvernement prend des mesures draconiennes.

Deux quartiers de la capitale, Monrovia, ont été placés en quarantaine et sous surveillance sécuritaire, alors que dans le reste du pays, un couvre-feu a été instauré. », Le Monde du 22 août 2014.

« Tirer à vue »

Dimanche 24 août, on apprenait que, au Sierra Leone :

« Le parlement a adopté un projet de loi qui interdit d’héberger des malades. Les contrevenants sont passibles de deux ans de prison.  »

Lundi 25 août, pire encore : le gouvernement du Libéria ordonne à ses soldats de « tirer à vue » sur les personnes qui chercheraient à passer la frontière, soit disant pour empêcher l’épidémie de se progager ! 

Ces réactions totalement excessives risquent de provoquer une vraie catastrophe humanitaire, bien plus grave que le virus Ebola lui-même.

Des mesures commencent également à être prises contre les Africains au niveau international :

« Au niveau international, les citoyens de ces pays font l’objet d’une quarantaine de plus en plus stricte avec la fermeture des frontières, la suspension des vols de la plupart des compagnies aériennes qui les desservaient, le rapatriement des membres des familles du personnel diplomatique dans ces pays, l’annulation de conférences internationales, la délocalisation d’événements sportifs, etc. » note Rue 89. 

En Corée, de véritables réactions racistes éclatent contre les Africains, interdits d’entrer dans certains magasins. 

Le mythe du passager infecté dans l’avion

À écouter les autorités et nos journalistes, on croirait qu’une épidémie de virus Ebola peut se déclencher à tout instant en Europe : il suffirait que débarque un Africain touché par la maladie arrivé par avion.

Cette hypothèse est parfaitement irréaliste. Elle ne traduit qu’une ignorance complète de ce qu’est réellement le virus Ebola.

Ne succombons ni à la psychose, ni à une forme de racisme qui ne dit pas son nom.

L’épidémie de virus Ebola ne sera correctement endiguée en Afrique que si toute violence et toute mesure répressive cesse.

Qu’on laisse chaque patient être pris tranquillement en charge par un personnel ayant une formation médicale de base, et prenant les mesures d’hygiène évidentes.

N’envoyons ni cargaisons de vaccins en Afrique, ni médicaments.

Cela ne servirait qu’à enrichir les laboratoires pharmaceutiques et à provoquer des dégâts bien plus graves par les effets secondaires de ces médicaments.

À votre santé  lettre de Jean-Marc Dupuis

 

Mon commentaire, on sait que ce virus est apparu dès 1986 , donc ce n'est pas d'hier, et le paludisme qui n'est pas contagieux , on le garde, on le soigne mais on ne le guérit pas pour ceux qui en réchappent, il reste en vous, avec des crises par moment.

Ceux qui ont eu le paludisme sont des bons  clients pour les laboratoires et les médecins, ça rapporte !

D'autres maladies plus anciennes ne sont toujours pas éradiquées, comme la lèpre, allez voir le pavillon des lépreux à l'hôpital St Louis à Paris, là on se tais, personne en parle !

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09/09/2014
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"Ce Que Cachent Vos Médias"

 

A ne rater sous aucun prétexte !

 

Qu'en pensez-vous ?


28/01/2015
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