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ces messages svp , sont à faire passer ,

 car on peut sauver une vie avec ses infos, merci !


Si vous ne voulez pas avoir des handicaps, écouter ce message !

 

Bonjour, ce message viens de la lettre reçu ce jour 

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Lien très important

 

à faire passer s v p , il est question de la vie de nombreux enfants, merci !

 

 


30/09/2014
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Un nouvel adjuvant vaccinal cible les nouveau-nés

Un adjuvant est un produit qu’on rajoute dans les vaccins pour augmenter la réponse immunitaire de l’organisme.

Vous connaissez en effet le principe du vaccin : on vous inocule un microbe affaibli afin de stimuler vos défenses naturelles. Le jour où vous serez contaminé par la maladie vraie, votre système immunitaire aura gardé mémoire de ce microbe, et réagira plus vite et plus fort pour l’éliminer.

C’est du moins la théorie. En pratique, c’est plus compliqué.

La science médicale veut corriger le système immunitaire des bébés

Chez les bébés, le système immunitaire ne fonctionne pas du tout comme chez les adultes ni même comme chez les petits enfants. 

Au lieu de combattre les corps étrangers qui cherchent à pénétrer, le bébé les accueille.

C’est logique parce que le fœtus est un peu comme un « invité » dans le ventre de sa mère. Il doit être en mesure d’accueillir tout ce qui passe au travers du placenta.

Grâce à un processus qui n’est pas encore bien compris de la science médicale, peu de temps avant et après la naissance, le système immunitaire qui acceptait toutes les substances étrangères se met à les rejeter. Il faut environ six mois après la naissance pour que ce processus soit terminé.

Et c’est ce qui pose problème aux médecins qui veulent vacciner : quand le bébé est tout jeune, ils ont beau lui injecter des vaccins, le bébé ne fabrique pas, ou pas assez, d’anticorps.

Et en dépit d’une absence quasi totale de compréhension du processus de conversion du système immunitaire (qui accepte puis rejette les substances étrangères), certains médecins ont décidé que ce n’était pas comme ça que les choses devaient marcher.

Ils ont donc lancé des recherches pour tenter de contraindre le système immunitaire des nourrissons à développer des anticorps suite à la vaccination.

Pour eux, le système immunitaire du bébé aurait donc un défaut inhérent, et ce serait à leur science d’y apporter un remède.

Ce remède, ils croient aujourd’hui l’avoir trouvé grâce à un nouvel adjuvant appelé le VTX-294. 

L’adjuvant VTX-294 : de la cocaïne pour le système immunitaire

Un adjuvant est donc une substance qui augmente la production d’anticorps par le système immunitaire.

Des chercheurs de l’hôpital pour enfants de Boston  ont découvert qu’un composé synthétique appelé VTX-294 augmente la production d’interleukine-1 bêta (IL-1β) et d’un facteur de nécrose tumorale (TNF), témoignant d’une forte réaction du système immunitaire.

Les effets du VTX-294 sont particulièrement intéressants sur le sang des nouveau-nés, ce qui en fait un candidat comme adjuvant pour les vaccins qui leur sont destinés.

Mais des voix s’élèvent pour dénoncer ces manipulations dignes de l’apprenti sorcier.

En effet, cette forte production d’anticorps déclenche dans le corps du bébé une réaction inflammatoire contraire à la nature et qui pourrait avoir des effets désastreux. 

L’inflammation au cours de la grossesse a été identifiée comme étant un facteur important dans le développement de l’autisme. 

Le facteur de nécrose tumorale (TNF) et l’interleukine-1 bêta (IL-1β), sont des cytokines, et des taux excessifs de cytokines (tempêtes de cytokines) ont été liés à l’autisme.

Comment pourrait-on qualifier autrement que « tempête de cytokines » la libération artificielle de cytokines TNF et de IL-1β, dans le sang des nouveau-nés ?

Ainsi, ces réactions inflammatoires déclenchées artificiellement pourraient contribuer à déclencher l’autisme chez les enfants.

Une substance proche des anxiolytiques les plus puissants

Le VTX est une benzazépine, un produit chimique proche des benzodiazépines, le nom chimique des anxiolytiques comme le Lexomil, le Diazépam, le Xanax ou le Valium. (10)…

Le benzazépine est en effet formé d’un cycle de benzène et d’un cycle azépine, tandis que les benzodiazépines sont formées d’un cycle de benzène et de deux azépines (ou di-azépine).

Le benzène est un produit toxique associé au cancer, ainsi qu’à des dommages neurologiques, développementaux et de troubles de la reproduction. (11,12,13)

Il est difficile d’imaginer que l’on puisse sérieusement envisager d’injecter un produit dérivé du benzène, produit toxique connu, à des nouveau-nés.

Mais pouvait-on imaginer que d’autres produits toxiques connus comme le mercure et le formaldéhyde seraient injectés avec certains vaccins ?

C’est pourtant ce qui se passe aujourd’hui en dépit des protestations de nombreux patients et victimes des effets secondaires de ces adjuvants.

Un orgueil médical démesuré

La recherche médicale moderne ferait donc l’hypothèse que, pour chaque bébé qui nait, quelque chose ne tourne pas rond.

Cela semble relever de la plus pure arrogance mais c’est pourtant bien à ça que reviennent les tentatives de contourner la nature fondamentale du système immunitaire du bébé.

Ceci est d’autant plus inquiétant que l’expérience nous montre que les adjuvants aux vaccins sont insuffisamment testés.

C’est le cas du squalène dont on a récemment montré qu’il augmente le risque de narcolepsie.

Il faut aussi mentionner le formaldéhyde (cancérogène), le mercure (neurotoxique), le polysorbate 80 (perturbateur endocrinien), l’aluminium (neurotoxique et peut-être cancérogène).

Tous ces produits sont communément utilisés dans les vaccins en dépit de leur toxicité.

Dans la conclusion de l’étude sur le VTX-294, publiée sur le site médical de référence Plos One, il est écrit en toutes lettres :

« VTX-294 is a novel ultra-potent agonist that activates newborn and adult leucocytes and is a candidate vaccine adjuvant in both early life and adulthood. »

Le VTX-294 est un nouvel agoniste TLR8 ultra-puissant qui active les leucocytes des nouveau-nés et des adultes et c’est un candidat pour devenir adjuvant vaccinal pour l’enfance et l’âge adulte » (ma traduction).

Et pourtant, si jamais le VTX-294 devait être utilisé dans les vaccins, nul ne sait s’il ne sera pas capable de perturber le développement normal du système immunitaire, et provoquer le cancer, l’autisme, des anomalies neurologiques, ou créer de nouvelles maladies, telles que la myofasciite à macrophages probablement induite par l’aluminium des vaccins.

 

Il semble donc que les désastres sanitaires récents n’aient pas suffi à remettre en cause l’orgueil de certains chercheurs.

Continueront-ils à prétendre, cette fois, que toutes les vies détruites ne seront encore que de « pures coïncidences » ?

Bien à vous,

Jean-Marc Dupuis

Source : ici : http://www.santenatureinnovation.com/adjuvant-vaccinal-bebe-vtx294-systeme-immunitaire/#ixzz3EG9zKxtF

 

 

population mondiale: refuser les futurs vaccins qui auront un adjuvant mortel : le squalene (mort sous quelques heures ou maladies auto immunes incurables) et le faire savoir par tous les moyens !

apres les soldats de la guerre du golf (1991) , 124 000 marines vaccinés contre l'antrax avec du squalene MF59 sur 750 000 ont connus des maladies auto immunes variés :sep, sla, narcolepsie, goujerot, wegener, syndrome de fatigue chronique

(la plus frequente ou une maladie tres proche et fortement invalidante),

les civils ayant reçus en hiver 2009 pendant la pandemie de 2009 de la grippe H1N1 des vaccins contenant du squalene AS03 ou MF59 ont connus Les memes pathologies dans les jours ou semaines qui ont suivies l'injection....

.la preuve est enfin produite, le squalene est a l'origine de ces maladies sur des sujets qui sont dotés d'un systeme immunitaire puissant et ne pouvant pas supporter un "turbo" de l'immunité l'adjuvant squalene, cela se traduit par un dereglement du systeme et l'agression de ses propres cellules , helas il n'y pas de remedes lorsque le processus est engagé, la maladie est acquise pour la vie, la seule solution est de refuser ses vaccins economiques , low cost et de privilegier ceux sans adjuvant plus cher a produire (4 fois plus) mais sans risque pour le vacciné......

 

tout est une histoire de rentabilité et profit de nos laboratoires, faire rapidement plus de vaccin avec le plus de profit  possible, mais tous les gens ne sont pas egaux biologiquement , ces adjuvants au squalene ont été developpés pour les personnes agées de plus de 65 ans avec un systeme immunitaire si affaibli, qu'il faut le sur stimuler pour qu'il produise des anti corps de l'anti gène concerné, mais pour la population jeune l'utilité de l'adjuvant n'est pas adapté et cela sacrifie un certain nombre d'entre nous pour la vie et cela est innaceptable de condamner a une vie de marthyrs des enfants et des jeunes adultes uniquement pour la rentabilité, pendant la pandemie H1N1 de 2009 , sanofi pasteur a produit du PANENZA sans adjuvant, les reactions gravent ont été tres rares, a l'inverse son concurrent GLAXO SMITH KLINE a developpé a la hate le PANDEMRIX avec adjuvant squalene AS03 , pendant les test sur 2000 volontaires, 7 décès ont été notifiés mais écartés de tos lien possible avec la vaccination ! le pandemrix reçoit sous la pression son AMM, les effets indesirables gravent se comptent en europe et dans les 49 pays du monde l'ayant utilisé par milliers d'individu, je suis une de ses victimes avec la meme maladie que les soldats de la guerre du golf 1991 , le squalene était bien la cause de leur maladie, ils n'etaient pas derangés mentalement ! ils ne pouvaient simplement plus dormir comme nous car la maladie attaque certaines cellules neurologiques qui activent le sommeil profond type N3 et N4 , je n'ai plus de sommeil N4 et seulement 2% de N3, c'est comme si on vous obligeait a vous reveiller chaque jour apres 45 minutes de sommeil tous les jours de votre vie ...que seriez vous ? un dechet ! sans force , sans facultées physiques et mentales, voila notre quotidien, celui ci peut tres bien devenir le votre ou celui de votre enfant si il reçoit une seule vaccination au squalene, a vous de choisir en connaissance de cause , j'aurai prevenu la population, je compte sur vous tous pour faire deferler cette information a tous vos amis sur face book , twitter.......de bouche a oreilles, il ne faut pas laisser les labo nous détruire en toute impunité

yvon cauchois

victimes du PANDEMRIX et du FOCETRIA

chaque jour est un enfer pour moi et mes compagnons dans le monde entier et je maudit ceux qui ont autorisés et fait ces vaccins , j'espere qu'ils seront punis penalement severement car nos vies sont detruites au plus haut point pour 7 euros (prix d'un vaccin comme le pandemrix)

 

 

Voir aussi ce lien "Un nouvel adjuvant vaccinal cible les nouveau-nés" :  ICI

 

Pour aller plus loin avec  cette bande annonce du film :

La pandémie du nouveau monde



 

Et encore cette vidéo pour 1 petit rappel,

là , c'est une bonne piqure d'information


Bonne vision, Monyka

 


24/09/2014
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Les faux médicaments de plus en plus durs à détecter

 

 

REPORTAGE 
Sanofi dispose à Tours d'un laboratoire dédié exclusivement à la détection de médicaments contrefaits.

 

À l'œil nu, les deux boîtes d'antibiotiques sont parfaitement identiques : même taille, même intitulé en cursives rose foncé, même date de péremption en léger biais sur la tranche.

Seule l'exposition à une forte loupe et à des rayons infrarouges permettra à la technicienne de mettre en évidence des différences sur l'écran de son ordinateur : une police de caractère plus épatée, des encres d'origine différente.

L'analyse chimique du contenant confirmera la fraude, signalée à Sanofi par des contacts en République démocratique du Congo.

«Les contrefacteurs ont fait d'énormes progrès ces dernières années pour copier les emballages.

Il est de plus difficile de repérer les faux à ce stade », signale Nathalie Tallet, responsable du Laboratoire central d'analyse des contrefaçons (LCAC) de Sanofi, à Tours.

Poussière, antigel, peinture

Ce travail de fourmi, sorte de jeu des sept erreurs pour industriels pharmaceutiques, mobilise 13 personnes à temps plein dans une infrastructure de pointe unique en France.

Depuis 2008, le leader national de l'industrie pharmaceutique consacre 600 m² à l'analyse des milliers d'échantillons transmis par les douanes, la police, les autorités de santé ou même des patients.

En 2013, sur 4 500 tests, 220 produits se sont révélés être faux.

«On y trouve de tout : poussière, ciment, farine, sucre, lactose, mais aussi antigel ou peinture surtout dans les copies de Viagra, pour reproduire la teinte bleue », énumère Nathalie Tallet.

L'objectif est avant tout d'atteindre une apparence la plus proche possible de l'original.

S'il arrive rarement que le médicament contienne le principe actif, les dosages sont très largement incorrects.

«Le danger des médicaments falsifiés est double.

D'abord, le patient ne reçoit pas la bonne quantité de substance active, voire n'en reçoit aucune, mais il continue de penser qu'il se soigne.

Imaginez les conséquences quand c'est un traitement pour une maladie cardio-vasculaire ou un cancer ! Par ailleurs, le médicament peut contenir des substances toxiques »,

explique le Dr Caroline Atlani, directrice anticontrefaçon chez Sanofi.

En 2009, au Nigeria, un sirop contre la toux contenant de l'antigel a ainsi tué 84 personnes.

Les industriels ont longtemps pensé que la contrefaçon se limitait à des médicaments populaires, type aspirine ou Viagra (le plus copié au monde), avant de réaliser que tous les produits sont concernés.

 

Aux États-Unis, en 2012, 19 cabinets médicaux ont ainsi utilisé ce qu'ils pensaient être de l'Avastin, utilisé contre le cancer colorectal, alors que le produit ne contenait aucun principe actif.

Dans les pays en développement, les traitements les plus contrefaits sont ceux dédiés au paludisme, à la tuberculose et au sida. Les génériques ne sont pas épargnés.

L'accélérateur Internet

Selon l'Organisation mondiale de la santé, 30 % des médicaments sont concernés dans certains pays d'Afrique ou d'Asie du Sud-Est, et jusqu'à 60 % au Nigeria ou en Guinée.

Dans ces régions du monde, même les pharmacies officielles peuvent être touchées.

Un marché de grande ampleur, donc, et très juteux.

Le World Economic Forum l'évalue à 200 milliards de dollars, l'Institut de recherche contre les médicaments contrefaits, à 75 milliards. en pdf : LA

Au point d'attirer les groupes de criminalité organisée, selon les experts.

«Comme toute économie souterraine, l'ampleur du phénomène est difficile à évaluer, explique au Figaro Philippe Lamoureux, directeur général du Leem, qui regroupe les entreprises du médicament en France.

 

Mais Internet a clairement servi d'accélérateur ». Sur la Toile, un médicament en vente sur deux serait faux.

En France, où le système de distribution du médicament est très sécurisé, «le Web est la seule voie d'entrée des médicaments falsifiés », poursuit Philippe Lamoureux.

Parallèlement, des initiatives internationales se multiplient.

Au sein du Conseil de l'Europe, 23 pays ont signé la convention Médicrime, qui fixe des sanctions pénales pour les contrefacteurs de médicaments. En France, la ratification est en cours.

LA RÉDACTION VOUS CONSEILLE:

VIDEO - De l'uranium trouvé dans un médicament contrefait 


Interpol saisit 10 millions de médicaments contrefaits :  LA


 

 

Le Havre: saisie record de faux médicaments :ICI

 

Médicaments: 1 Européen sur 5 achète de la contrefaçon :  et ICI

 

Soyez attentif pour votre santé notre bien le plus précieux !

 

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18/05/2014
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New York va vacciner de manière obligatoire les enfants de la ville contre la grippe avec un vaccin contenant du mercure

 

Bonjour,

Vous allez me dire, ce n'est pas chez nous !

Mais détrompez-vous, cela pourrai  bien nous arriver , même s'il ne devient pas forcément une obligation de l'état, méfiez-vous des adjuvants , même pour nos animaux de compagnie,

Mon vétérinaire le marque bien chez lui, pas d'adjuvant dans les vaccins et pour nous ?

Soyons vigilant !

 

De tous les métaux lourds toxiques, le mercure est le plus catastrophique pour le cerveau. Aucun scientifique ose admettre que le mercure ne présente aucun risque injecté dans le corps d'un enfant, et ce, à n'importe quelle dose, et le CDC n'a jamais établi de niveau «sécuritaire» de mercure dans le sang humain pour la simple raison qu'il n'y a pas de niveau sûr. 

Pourtant, le Conseil sanitaire de New York a décidé que tous les petits new-yorkais recevrons une piqûre  contenant une dose dévastatrice de mercure toxique pour des raisons de «santé publique». 

En effet, dans le cadre de la lutte contre la grippe, ces enfants seront tous vaccinés au mercure,  cependant que des métaux lourds de neurotoxine connus comme le mercure, et après maintes revendications, aient été prohibés des établissements hospitaliers.

Le CDC a pourtant admis que tous les vaccins contre la grippe contiennent encore du mercure, mais seulement pour se protéger d'une contamination une fois le flacon ouvert.  

Les vaccins sont si dangereux que l'Industrie du vaccin a dû se protéger derrière une immunité juridique pour continuer leurs petites affaires...

En attendant, ces enfants de la ville de New-York s'apprêtent à recevoir leur dose, non par souci de bien-être, mais pour que l'Industrie s'en mette plein les poches.

 

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Alexander Doyle pour WikiStrike

 

Source: Natural News

 


25/12/2013
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Glyphosate : des raisons de s’inquiéter !

 Bonjour, oui effectivement voici le pdf qui vous l'explique :  LIEN

 

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Les eurodéputés contaminés au glyphosate :

 

À quelques jours du vote des États membres sur le glyphosate,

des tests réalisés sur 48 eurodéputés révèlent que leurs urines contiennent un taux parfois 35 fois supérieur au seuil limite.

« Tous les participants avaient du glyphosate dans les urines, et ce, dans des proportions élevées »,

conclut le laboratoire Biocheck de Leipzig, qui a effectué le test sur 48 députés du Parlement européen, tous sexes et tous partis confondus.

Au total, 13 pays sont représentés, dont la Belgique, la République tchèque, la France, la Hongrie, l’Espagne, la Finlande et l’Italie, entre autres.

Cette opération coup de poing, lancée par une dizaine d’eurodéputés, pour la plupart belges, dont Marc Tarabella (PS) et Bart Staes (Verts), révèle que le taux de glyphosate moyen présent dans les urines des eurodéputés est 17 fois plus élevé que la normale. Interrogé sur la volonté des eurodéputés belges d’influencer leur gouvernement, Marc Tarabella a répondu: « oui, le fait d’être d’un pays qui continue à apporter un soutien indéfectible à la Commission nous a peut-être sensibilisé et a peut-être été un élément déclencheur ».

 

Lire : Pesticides et OGM, quand la Commission européenne fait le jeu des multinationales La Belgique est un des rares pays à soutenir la prolongation de l’autorisation du glyphosate, pourtant jugé cancérogène « probable », par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Chez certains eurodéputés belges et français, le taux de glyphosate dans les urines peut dépasser respectivement de 35 et 25 fois les maximums autorisés, explique Marc Tarabella dont le taux de glyphosate est près de 10 fois supérieur au plafond. Poids de l’industrie Le glyphosate est une substance active largement utilisée dans les herbicides. La molécule a été brevetée au début des années 1970 et introduite sur le marché en 1974.

Elle est rapidement devenue le numéro 1 des ventes, notamment avec le Round Up du géant agrochimique américain Monsanto.

 

Lire : La droite européenne à la manœuvre pour sauver le Round-Up Une étude allemande, réalisée par la Fondation Heinrich Böll, révélait également des taux de glyphosate dans l’urine de 99,6 % des Allemands. L’herbicide très controversé est présent en doses beaucoup trop élevées chez 75 % des 2 009 Allemands étudiés.

 

Lire: Les trois quarts des Allemands contaminés au glyphosate Peu importe l’âge, le sexe, le pays d’origine, ou le régime alimentaire, tous les citoyens de l’UE sont exposés au glyphosate.

 

Malgré cela, certains États membres continuent de fermer les yeux sur la dangerosité de cette substance.

 

« En leur laissant le choix, comme c’est le cas pour les OGM, la Commission morcèle le pouvoir décisionnel et fait donc le jeu des lobbys en donnant [à l’industrie] plus de marge de manœuvre », estime un observateur européen.

 

Décision cruciale Le 18 et 19 mai prochain, les États membres de l’UE sont appelés à voter sur un renouvellement de 10 ans de l’autorisation du glyphosate.

 

Si certains gouvernements nationaux soutiennent la position de l’exécutif, comme la Belgique, d’autres, comme l’Italie, la France, la Suède, et les Pays-Bas, s’y opposent fermement.

« Ce test est surtout symbolique et nous permet d’apporter un peu d’eau au moulin pour que les gouvernements aveugles aux besoins des citoyens penchent du bon côté de la balance », a expliqué Marc Tarabella.

 

« Combattre le glyphosate c’est lutter pour la sécurité alimentaire. Convaincre les gouvernements qui nient les différents rapports, dont celui de l’OMS, attestant de la dangerosité de cet herbicide est une véritable croisade », a commenté l’eurodéputé belge.

Lire :  Le glyphosate visé par une plainte en France

 

 

 

 

 


16/05/2016
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