PORTABLE À HAUTE DOSE : LE DANGER SE CONFIRME

 

Commentaire du docteur Olivier Soulier.

Après de très nombreuses dénégations, tant des autorités médicales que des opérateurs, l’évidence commence à apparaître.

Elle n’est reconnue que pour les gros consommateurs. 

Et cela commence à 1/2h par jour, ce qui veut dire en fait que cela concerne beaucoup de monde.

Ajoutons que plus le cerveau est jeune et encore immature,plus il est sensible.

Tout cela n’est que la part visible de l’iceberg.

Le début de la prise de conscience d’une électrosensibilité croissante.

La surcharge qui sensibilise peu à peu des pans entiers de la population.

L’ARTICLE :

Le Parisien s’interroge :

« Faudra-t-il bientôt apposer sur les téléphones portables cet avertissement à l’attention des accros du mobile ? ».

Le journal fait savoir qu’« une nouvelle étude française [publiée dans la revue Occupational and Environmental Medicine] pointe une augmentation du risque de tumeurs cancéreuses chez ceux qui utilisent leur téléphone plus de 15 heures par mois »

 

.enfant portable


Le quotidien note ainsi qu’« après avoir mené une enquête épidémiologique auprès de personnes atteintes de méningiomes et gliomes (des tumeurs cancéreuses) en Gironde, dans le Calvados,

la Manche et l’Hérault, les chercheurs ont établi un lien entre l’apparition de gliomes et l’utilisation massive, et pendant plusieurs années, du téléphone portable chez certains sujets ».

Le journal rappelle que « les Français passent en moyenne 2 h 30 par mois pendus à leur portable ».


Le Parisien explique que « l’équipe de chercheurs de l’Institut de santé publique d’épidémiologie et de développement (Isped) de l’université de Bordeaux a observé une augmentation des risques de tumeur cérébrale au-delà de 15 heures d’appel par mois (soit une demi-heure par jour !), par rapport à des utilisateurs non réguliers »

.
Le journal précise que « les risques de gliomes ou de tumeurs temporales sont plus élevés pour les utilisateurs professionnels (commerciaux, vendeurs…) vivant en zone urbaine ». 

Annie Sasco, médecin épidémiologiste, remarque ainsi que « le risque de contracter un gliome est multiplié par 2 pour les utilisateurs de longue durée d’un portable ». Le directeur de l’Isped, Roger Salamon, souligne pour sa part qu’« il faut raison garder.

 

Cela ne veut pas dire que tous les gens qui téléphonent vont avoir une tumeur au cerveau ».
Le quotidien relève que « pour la présidente de l’association Priartem (Pour une réglementation des implantations d’antennes-relais de téléphonie mobile) [Janine Le Calvez], cette étude devrait au contraire pousser les autorités françaises à lancer une campagne nationale d’information et de prévention ».


« Même l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) reconnaît que «des interrogations sur la possibilité d’effets à long terme ne peuvent être écartées, particulièrement dans le cas d’utilisateurs intensifs» », poursuit Le Parisien.


Le quotidien ajoute que « l’Inpes rappelle par ailleurs que le Centre international de recherche sur le cancer (Circ) a classé «cancérogènes possibles»

les champs électromagnétiques de radiofréquences, «y compris ceux émis par les téléphones portables et sans fil» ».

Date de publication : 13-05-2014

Cette info est reprise dans d’autres médias :  LIEN

 

entetesitemonmobile

 

SOLUTION 

Hors mis certaineS pierres qui protègent contre les ondes comme la tourmaline noire, il existe des pastilles, mais ce n'est pas encore trés bon marché :  LIEN



18/05/2014
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